Marie-Lucile est la créatrice de L’inaccessible étoile, une marque de bijoux que j’ai découverte il y a 3 ou 4 ans et qui depuis est devenue l’une des marques de bijoux préférée des clientes de la boutique.Dès notre première rencontre le feeling est passé … parce que Marie-Lucile est passionnée, par la vie, par son métier, par ses collections dans lesquelles elle met beaucoup d’elle-même.Les bijoux de l’Inaccessible étoile dégagent poésie et sensibilité. Ils reflètent un univers particulier qui s’inspire des passions de leur créatrice.Marie-Lucile a un parcours pour le moins atypique. Juriste de formation, spécialisée en droit de l’environnement, elle a quitté sa Bretagne natale pour travailler durant deux ans à L’ONU. Puis elle a rencontré son mari, fabricant de bijoux, et est devenue savoyarde ! C’est également ainsi qu’elle est tombée dans l’univers du bijou !Après avoir créé un Concept Store elle s’est lancée à son tour, ressentant l’envie d’exprimer à travers des bijoux ce qui la faisait vibrer.L’envie de Marie-Lucile est avant tout de mettre une forme de magie, de rêve et d’enfance dans ses collections. Inspirée tout d’abord par le Tarot de Marseille, qui a été le thème de sa première collection, elle s’est très vite intéressée au symbolisme universel qui depuis toujours la questionne et l’impressionne de par sa philosophie commune à toutes les civilisations.Au cours de ces derniers mois, un virage s’est amorcé, provoqué en partie par le Covid, désireuse de faire appel moins au mental et davantage à l’intuition, au ressenti ainsi qu’à une forme de féminisme mais habitée par la magie, la nature et les émotions.Le nom de la marque vient d’une chanson de Jacques Brel,  « La quête ». « Parce que créer une marque de bijoux, à notre époque, peut sembler une utopie et une quête vaine, tant nous sommes nombreux sur le terrain (même si à l’époque, sur le terrain du symbolisme, on se comptait sur les doigts d’une main), et que c’est un voyage dont on ne connaît que le point de départ et jamais l’arrivée (s’il y en a une mais qu’importe, au final) ». Marie-Lucile est une rêveuse mais une rêveuse active ( !) et sans doute aussi peut-être une utopiste mais n’est-ce pas nécessaire quand on est créatrice ?